💡 « On ne change que quand on y est obligé ».
J’ai entendu cette phrase récemment dans un podcast inspirant (lien en commentaires).
Elle m’a paru à la fois très vrai, puis m’a beaucoup questionnée 🧐. Je m’explique.
➡️ Pourquoi Vrai ?
🛑 Combien d’entre nous on réussit à arrêter de fumer parce que eux ou un proche avait vécu une alerte ? Changé leur alimentation suite à un problème de santé ? Ou dans le domaine que j’accompagne : changer leur mode de communication suite à un conflit, leur organisation et limites suite à une surcharge insoutenable, etc ?
Dans mon métier de coach, c’est souvent face à un problème dont l’impact n’est plus acceptable que l’on m’appelle.
🎤 Récemment un dirigeant que j’accompagne m’a dit « j’aurai du le faire plus tôt ». Oui mais… Le résultat aurait-il été aussi impactant si ce n’était pas le « bon moment », si sa perception du besoin de changement n’était pas aussi forte, … si le problème n’était pas bel et bien présent, et ses conséquences avec.
➡️ Et pourtant, cela m’interpelle.
Peut-on alors vraiment faire de la prévention ? 🤔 Comment changer des habitudes avant qu’il n’y ait un problème ? C’est tout de même plus sympathique à envisager, et à mon sens c’est également la finalité.
🗝️ Je crois que la clé réside dans notre capacité à élargir notre regard : ne pas seulement observer notre réalité, mais celle de notre entourage, de nos équipes, du monde qui nous entoure, et savoir lire « les signaux faibles ».
Et se dire : « je n’ai pas encore ce problème, mais si je ne veux pas y être confronté – ou y confronter les autres – je dois agir maintenant ».
🎤 Un autre dirigeant me contactait en me disant : « il n’y a pas encore eu de clash, mais je sens qu’il y a de plus en plus d’accrocs, ce n’est pas fluide ». Il a su percevoir les signaux faibles, et en faire son moteur de changement.
⏩ Et vous, que vous inspire cette phrase ? Quels sont vos moteurs pour vous engager dans la prévention de manière aussi efficace qu’en mode « réaction » ?
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